Dans un petita salon, il est entouré de deux bimbos. Il s’assoit, les admire en train de jouer les effeuilleuses. La première s’assoit à califourchon sur lui, il caresse ses seins qui ne le font pas bander. La deuxième s’approche, il lui caresse la cuisse sans vraiment de conviction. Elles sentent que sa flamme est éteinte, s’apprêtent à faire ce qu’il faut pour raviver sa flamme. Un homme beaucoup plus joyeux vient prendre part à la partouze, une bouteille de champagne à la main. Son côté ventripotent le rend sympathique, notre ami déjà embarrassé par les deux filles n’a aucun remord à lui passer la main, il préfère la place du voyeur.